J’ai beaucoup d’amitié pour une des personnes qui anime Teliman. Ingénieure Arts et Métiers, elle pouvait faire carrière en France comme beaucoup d’autres. Elle a eu le courage de rentrer au Mali, d’abord par amour pour son pays mais aussi pour répondre aux réalités sociales qui le gangrènent.
Ce billet a le mérite de montrer l’avis d’un usager qui n’est pas tout à fait lambda. Il a aussi le mérite de traduire en langage de tous les jours l’application d’un modèle économique.
Préambule
Ce post est une revue indépendante. Je ne détiens aucune part dans la start-up Teliman et je ne reçois aucune compensation en retour. Par contre si Teliman souhaite me faire appel dans le futur, je serai à l’écoute et si conflit d’intérêt il y a, je ne manquerai pas de le déclarer.
L’idée du service
Les services de moto-taxis sont bien développés en Afrique de l’ouest et j’ai testé celui du Cameroun il y a quelques temps. Economique, rapide, mais pas toujours sur à cause du danger inhérent à la moto. Je me demandais à quand un service similaire au Mali. Grace a Teliman, c’est fait. Petite start-up créée par des anciens Boursiers d’Excellence, le service est encore dans sa phase expérimentale, mais il y a du potentiel. J’ai vu passé plusieurs annonces sur les réseaux sociaux lors son lancement lancement. J’ai donc essayé Teliman pour en faire ma…
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